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| Titre : | Ferrocarril Blues : de Bagnac sur Célé à Figeac : journal | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Yves Grégori | | Editeur : | Corn : Ed. Synchronies | | Année de publication : | 2015 | | Collection : | Pain quotidien | | Importance : | 175 p. | | Présentation : | ill. en noir et blanc | | Format : | 18 x 11 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 979-10-93696-01-0 | | Prix : | 12.00 | | Langues : | Français | | Mots-clés : | LC415 1820 Travail :SNCF Travail :témoignage Exploitation:travail | | Index. décimale : | 385.092 : Souvenirs | | Résumé : | Yves Grégori, peintre décorateur français installé à Barcelone, ne remplit plus son carnet de commandes. Il accepte alors d'être interprète pour une entreprise espagnole qui rénove les voies sur un chantier Sncf dans le Lot. Lorsqu'il ne traduit pas, il doit démonter et installer des rails avec ses collègues espagnols. Son journal nous révèle jour après jour les dépassements d'horaires (plus de 12 h par jour), le maigre salaire, la tyrannie d'un chef qui calcule tout au moindre coût, les règles de sécurité bafouées. Un témoignage rare sur les ouvriers de la voie, ces hommes en jaune, un hommage : 'A vous tous, José, Antonio, Goyo et les autres à qui je dois ces heures de complicité vécues dans l'adversité... j'ai appris et j'ai souffert.' 175 p. |
Ferrocarril Blues : de Bagnac sur Célé à Figeac : journal [texte imprimé] / Yves Grégori . - Corn : Ed. Synchronies, 2015 . - 175 p. : ill. en noir et blanc ; 18 x 11 cm. - ( Pain quotidien) . ISBN : 979-10-93696-01-0 : 12.00 Langues : Français | Mots-clés : | LC415 1820 Travail :SNCF Travail :témoignage Exploitation:travail | | Index. décimale : | 385.092 : Souvenirs | | Résumé : | Yves Grégori, peintre décorateur français installé à Barcelone, ne remplit plus son carnet de commandes. Il accepte alors d'être interprète pour une entreprise espagnole qui rénove les voies sur un chantier Sncf dans le Lot. Lorsqu'il ne traduit pas, il doit démonter et installer des rails avec ses collègues espagnols. Son journal nous révèle jour après jour les dépassements d'horaires (plus de 12 h par jour), le maigre salaire, la tyrannie d'un chef qui calcule tout au moindre coût, les règles de sécurité bafouées. Un témoignage rare sur les ouvriers de la voie, ces hommes en jaune, un hommage : 'A vous tous, José, Antonio, Goyo et les autres à qui je dois ces heures de complicité vécues dans l'adversité... j'ai appris et j'ai souffert.' 175 p. |
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