Titre : | La vie à en mourir : lettres de fusillés, 1941-1944 | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Guy Krivopissko ; François Marcot, | Editeur : | Paris : Ed. Tallandier | Année de publication : | 2003 | Importance : | 367 p. | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84734-079-2 | Prix : | E 21.00 | Mots-clés : | Résistance : 1940-1944 Témoignages 403 086 | Index. décimale : | 944.081 IIIéme République, 1870-1945 | Résumé : | La précieuse préface de F. Marcot -revenant depuis juin 1940- sur les événements qui ont plongé la France et l'Europe dans l'horreur, aide à resituer le contexte historico-politique et les raisons qui ont amené des femmes, des hommes, quelquefois presqu'encore des enfants, à mourir pour la liberté. Que dire des 120 lettres elles-mêmes ? Porteuses d'une force extraordinaire que seuls la sagesse et l'amour de la vie permettent au moment ultime. Une force qui conduit leurs auteurs à surmonter leur propre angoisse pour ne penser qu'à la douleur des leurs. Car le plus émouvant est sans doute cela. Pas un regret pour eux-mêmes ne vient ternir ces dernières lignes, mais des voeux de vie pour les êtres aimés qui vont vivre sans eux. |
La vie à en mourir : lettres de fusillés, 1941-1944 [texte imprimé] / Guy Krivopissko ; François Marcot, . - Paris : Ed. Tallandier, 2003 . - 367 p. ; 23 cm. ISBN : 978-2-84734-079-2 : E 21.00 Mots-clés : | Résistance : 1940-1944 Témoignages 403 086 | Index. décimale : | 944.081 IIIéme République, 1870-1945 | Résumé : | La précieuse préface de F. Marcot -revenant depuis juin 1940- sur les événements qui ont plongé la France et l'Europe dans l'horreur, aide à resituer le contexte historico-politique et les raisons qui ont amené des femmes, des hommes, quelquefois presqu'encore des enfants, à mourir pour la liberté. Que dire des 120 lettres elles-mêmes ? Porteuses d'une force extraordinaire que seuls la sagesse et l'amour de la vie permettent au moment ultime. Une force qui conduit leurs auteurs à surmonter leur propre angoisse pour ne penser qu'à la douleur des leurs. Car le plus émouvant est sans doute cela. Pas un regret pour eux-mêmes ne vient ternir ces dernières lignes, mais des voeux de vie pour les êtres aimés qui vont vivre sans eux. |
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