A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... |
Détail de l'auteur
Auteur Olivier Supiot (1971-....)
Documents disponibles écrits par cet auteur
Faire une suggestion Affiner la recherche
Tati et le film sans fin / Arnaud Le Gouëfflec
Titre : Tati et le film sans fin Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Le Gouëfflec (1974-....), Auteur ; Olivier Supiot (1971-....), Illustrateur Importance : 1 vol. (132 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-344-04288-5 Prix : 22,50 EUR Note générale : Bibliogr., 1 p. Filmogr., 2 p. Langues : Français Index. décimale : 791.430 233092 Résumé : Une plongée dans l'univers drôle et poétique d'un des plus grands cinéastes français du XXe siècle.Avant de devenir un cinéaste de renom, Jacques Tati avait un rêve : devenir clown ! Clown, il n'a cessé de l'être en inventant des gags sous ses multiples casquettes : mime, acteur, scénariste, réalisateur? Destiné à reprendre l'entreprise familiale, le jeune Jacques est médiocre à l'école mais a l'?il pour saisir les situations burlesques du quotidien. Ce regard sur le monde, il va le sublimer dans le music-hall dès les années 30. En découvrant Tati sur scène, Colette dira qu'il a créé « quelque chose qui participe du sport, de la danse, de la satire et du tableau vivant ». Cette approche fera aussi son succès au cinéma : avec son premier coup d'essai, il signe son premier chef-d'?uvre : Jour de fête (1949). Entouré d'amateurs, Tati obtient le Grand prix du cinéma français (1950). Sur le tournage, il contrôle tout sauf la couleur, qui lui échappe de peu ! Puis, en 1953, une silhouette atypique s'avance, celle de Monsieur Hulot. Personnage cultissime, cet anti-charlot à la pipe qui fait corps avec Tati devient récurrent. Acclamé, Tati se verra auréolé de succès avec son 3e long-métrage, Mon oncle (1958). Évitant les sirènes d'Hollywood, il préfère se lancer dans Playtime (1967), un projet titanesque. Pour installer l'absurde, il construit une ville-décor et se ruine ! Il perdra sa maison de production et, dans la foulée, les droits de ses propres films avant de repasser derrière la caméra dans les années 70. Privilégiant le geste aux dialogues, retravaillant le son tel un véritable chef d'orchestre, Tati invente un univers à part et devient en seulement six films, un des maîtres incontestables du cinéma français et international. Il recevra le César du cinéma en 1977 pour l'ensemble de son ?uvre avant de s'éteindre en 1982 en laissant inachevé un ultime scénario, Confusion? Arnaud Le Gouëfflec et Olivier Supiot croquent avec justesse l'homme au-delà de la légende... Tati et le film sans fin [texte imprimé] / Arnaud Le Gouëfflec (1974-....), Auteur ; Olivier Supiot (1971-....), Illustrateur . - [s.d.] . - 1 vol. (132 p.) : ill. en coul. ; 27 cm.
ISBN : 978-2-344-04288-5 : 22,50 EUR
Bibliogr., 1 p. Filmogr., 2 p.
Langues : Français
Index. décimale : 791.430 233092 Résumé : Une plongée dans l'univers drôle et poétique d'un des plus grands cinéastes français du XXe siècle.Avant de devenir un cinéaste de renom, Jacques Tati avait un rêve : devenir clown ! Clown, il n'a cessé de l'être en inventant des gags sous ses multiples casquettes : mime, acteur, scénariste, réalisateur? Destiné à reprendre l'entreprise familiale, le jeune Jacques est médiocre à l'école mais a l'?il pour saisir les situations burlesques du quotidien. Ce regard sur le monde, il va le sublimer dans le music-hall dès les années 30. En découvrant Tati sur scène, Colette dira qu'il a créé « quelque chose qui participe du sport, de la danse, de la satire et du tableau vivant ». Cette approche fera aussi son succès au cinéma : avec son premier coup d'essai, il signe son premier chef-d'?uvre : Jour de fête (1949). Entouré d'amateurs, Tati obtient le Grand prix du cinéma français (1950). Sur le tournage, il contrôle tout sauf la couleur, qui lui échappe de peu ! Puis, en 1953, une silhouette atypique s'avance, celle de Monsieur Hulot. Personnage cultissime, cet anti-charlot à la pipe qui fait corps avec Tati devient récurrent. Acclamé, Tati se verra auréolé de succès avec son 3e long-métrage, Mon oncle (1958). Évitant les sirènes d'Hollywood, il préfère se lancer dans Playtime (1967), un projet titanesque. Pour installer l'absurde, il construit une ville-décor et se ruine ! Il perdra sa maison de production et, dans la foulée, les droits de ses propres films avant de repasser derrière la caméra dans les années 70. Privilégiant le geste aux dialogues, retravaillant le son tel un véritable chef d'orchestre, Tati invente un univers à part et devient en seulement six films, un des maîtres incontestables du cinéma français et international. Il recevra le César du cinéma en 1977 pour l'ensemble de son ?uvre avant de s'éteindre en 1982 en laissant inachevé un ultime scénario, Confusion? Arnaud Le Gouëfflec et Olivier Supiot croquent avec justesse l'homme au-delà de la légende... Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5006-002424 791.5 LEG Livre Bibliothèque Hendaye Bande-dessinées Adultes Disponible 50120097935 741.5 LEG Livre Bibliothèque Poitiers Bande-dessinées Adultes Disponible