Titre : | Les bienveillantes | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jonathan Littell | Editeur : | Paris : Gallimard | Année de publication : | 2006 | Collection : | Blanche | Importance : | 903 p. | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-078097-6 | Prix : | E 25.00 | Note générale : | Prix Goncourt et Académie Française | Mots-clés : | R06 004 Guerre mondiale (Seconde) France | Index. décimale : | R | Résumé : | Les Bienveillantes, ce sont les Euménides, déesses persécutrices de la mythologie grecque, tapies derrière cette fresque (903 p. écrites en français par un auteur américain) très documentée qui nous emmène au coeur de l'administration du Reich. Max Aue, ancien officier SS proche du pouvoir, vit de nos jours en France ; il raconte la guerre telle qu'il l'a vécue sur le front de l'Est, participant à la folie meurtrière nazie, poussé par le seul souci de l'efficacité ; il ne regrettera rien, si ce n'est d'avoir échoué dans sa mission. Une évocation atrocement réaliste qui nous fait également pénétrer dans la vie intime de ce personnage complexe obsédé par ses relations familiales. Un roman érudit et provocant qui interroge sur la banalité de l'horreur. On en sort pétrifié. |
Les bienveillantes [texte imprimé] / Jonathan Littell . - Paris : Gallimard, 2006 . - 903 p. ; 23 cm. - ( Blanche) . ISBN : 978-2-07-078097-6 : E 25.00 Prix Goncourt et Académie Française Mots-clés : | R06 004 Guerre mondiale (Seconde) France | Index. décimale : | R | Résumé : | Les Bienveillantes, ce sont les Euménides, déesses persécutrices de la mythologie grecque, tapies derrière cette fresque (903 p. écrites en français par un auteur américain) très documentée qui nous emmène au coeur de l'administration du Reich. Max Aue, ancien officier SS proche du pouvoir, vit de nos jours en France ; il raconte la guerre telle qu'il l'a vécue sur le front de l'Est, participant à la folie meurtrière nazie, poussé par le seul souci de l'efficacité ; il ne regrettera rien, si ce n'est d'avoir échoué dans sa mission. Une évocation atrocement réaliste qui nous fait également pénétrer dans la vie intime de ce personnage complexe obsédé par ses relations familiales. Un roman érudit et provocant qui interroge sur la banalité de l'horreur. On en sort pétrifié. |
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