Titre : | Porteurs d'âmes | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Pierre Bordage | Editeur : | Vauvert : Au diable vauvert | Année de publication : | 2007 | Importance : | 495 p | Format : | 20 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84676-133-8 | Prix : | E 0.00 | Mots-clés : | LC507 009 LP8 TH12 | Résumé : | Léonie est prête à tout pour échapper à Tante Destinée et son âme damnée l'Oncle Lucius. Même à tester de mystérieuses molécules pour un mystérieux laboratoire : 1500 euros et c'est la liberté après des années d'esclavage sexuel, depuis son arrivée clandestine du Libéria à l'âge de 8 ans. Quant à Cyrian, l'enfant des beaux quartiers aux yeux bleus et aux boucles blondes, la vie l'a épargné. Il y a juste sa prochaine intronisation dans la Confrérie des Titans qui exige aujourd'hui des sacrifices. Comment le destin de ces deux êtres devenus adultes va-t-il s'entrechoquer avec celui d'Edmé, le flic désabusé de la Crim à Paris ? Une fois encore, le talent de Bordage fait merveille dans ces 500 pages où son imagination ne nous laisse aucun répit. Heureusement, tout finit bien dans ce conte cruel où l'on croise plus souvent des sorcières que de bonnes fées. |
Porteurs d'âmes [texte imprimé] / Pierre Bordage . - Vauvert : Au diable vauvert, 2007 . - 495 p ; 20 cm. ISBN : 978-2-84676-133-8 : E 0.00 Mots-clés : | LC507 009 LP8 TH12 | Résumé : | Léonie est prête à tout pour échapper à Tante Destinée et son âme damnée l'Oncle Lucius. Même à tester de mystérieuses molécules pour un mystérieux laboratoire : 1500 euros et c'est la liberté après des années d'esclavage sexuel, depuis son arrivée clandestine du Libéria à l'âge de 8 ans. Quant à Cyrian, l'enfant des beaux quartiers aux yeux bleus et aux boucles blondes, la vie l'a épargné. Il y a juste sa prochaine intronisation dans la Confrérie des Titans qui exige aujourd'hui des sacrifices. Comment le destin de ces deux êtres devenus adultes va-t-il s'entrechoquer avec celui d'Edmé, le flic désabusé de la Crim à Paris ? Une fois encore, le talent de Bordage fait merveille dans ces 500 pages où son imagination ne nous laisse aucun répit. Heureusement, tout finit bien dans ce conte cruel où l'on croise plus souvent des sorcières que de bonnes fées. |
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