Titre : | Le quai de Ouistreham | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Florence Aubenas | Editeur : | Paris : Ed. de l'olivier | Année de publication : | 2010 | Collection : | Littérature française | Importance : | 269 p. | Format : | 14 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-87929-677-7 | Prix : | E 19.00 | Mots-clés : | LC310 035 MVF310 Précarité : travail Exploitation : travail Travail : chômage | Index. décimale : | 331.2 Salaires, honoraires et autres conditions de l'emploi | Résumé : | Pour comprendre ce que crise veut dire, l'auteure otage en Irak en 2005, est partie clandestinement en Normandie. Elle n'a pas été reconnue. Pendant 6 mois, elle a partagé la vie de travailleurs précaires. Courant d'heures de ménage en fin de nuit à d'autres en fin de soirée sur les ferries et avec de la chance encore un peu vers midi. Entre temps il faut aller au Pôle emploi, consulter les annonces et les boites d'intérim. Le salaire permet à peine de vivre. De cette immersion est née une oeuvre journalistique puissante. Les figures et les faits, sont donnés simplement. Ils sont bouleversants. Prix Jean Amila-Meckert 2010. |
Le quai de Ouistreham [texte imprimé] / Florence Aubenas . - Paris : Ed. de l'olivier, 2010 . - 269 p. ; 14 cm. - ( Littérature française) . ISBN : 978-2-87929-677-7 : E 19.00 Mots-clés : | LC310 035 MVF310 Précarité : travail Exploitation : travail Travail : chômage | Index. décimale : | 331.2 Salaires, honoraires et autres conditions de l'emploi | Résumé : | Pour comprendre ce que crise veut dire, l'auteure otage en Irak en 2005, est partie clandestinement en Normandie. Elle n'a pas été reconnue. Pendant 6 mois, elle a partagé la vie de travailleurs précaires. Courant d'heures de ménage en fin de nuit à d'autres en fin de soirée sur les ferries et avec de la chance encore un peu vers midi. Entre temps il faut aller au Pôle emploi, consulter les annonces et les boites d'intérim. Le salaire permet à peine de vivre. De cette immersion est née une oeuvre journalistique puissante. Les figures et les faits, sont donnés simplement. Ils sont bouleversants. Prix Jean Amila-Meckert 2010. |
| |